Léonora Miano. La Saison de l’ombre

par Florian Alix

Léonora Miano, dans son dernier roman, poursuit un projet qui n’est pas sans évoquer celui de Mahmoud Darwich. En effet, dans un entretien, le poète palestinien se rêvait comme un « poète troyen » : il fait le choix de se situer du côté des « perdants qui ont été privés du droit de laisser quelque trace que ce soit de leur défaite, privés du droit de la proclamer



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