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La libéralisation de la circulation des joueurs a des effets pervers sur le football africain, et en particulier sur les jeunes talents, objets de transactions à la limite du commerce d’êtres humains. Les marchés doivent être régulés et l’auteur propose la mise en place d’une taxe sur les transferts, la taxe Coubertobin. Ce dispositif corrigerait ceux déjà mis en œuvre par la FIFA, en laissant jouer le mécanisme du marché tout en utilisant celui-là pour créer des revenus pour le pays d’origine et le club formateur des joueurs mineurs.