Éditorial

par Jean-Bernard Véron

Un temps enfant chéri des agences d’aide, l’agriculture africaine ou, plus exactement, le petit exploitant familial fut ensuite abandonné au motif qu’il n’aurait pas su tirer parti des milliards d’euros déversés par ces mêmes agences plusieurs décennies durant. On lui préféra le succès plus clinquant des économies émergentes d’Asie ou d’ambitieux programmes planétaires, (…)



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